LA LAINE, LA HAINE...
Avec un temps pareil comment pas penser qu'on serait mieux sur une plage à reluquer un godet en pogne les aphrodites qui ondulent des grands fessiers et t'exhibent leur méchante paire d'air bags en passant devant ton pif et à portée d'pogne ! Juste un fantasme puisque mézigue a juste eu droit à un rencard Admin pour mon retour Vendéen en guise de rêve Américain.
Un chouille plus tard, je bigophone à Jacouille pour lui quémander son fidèle fourgon afin d'aller chez Super Mario acheter les 13 fagots d'isolant restant. Papotages devant un kawa pendant une poignée de minutes et départ de la course.
Un monde pas possible chez Mario, et une queue d'anaconda à chaque caisse. j'ouve les portes, reluque les étiquettes et charge les 13 paquessons d'isolant.
C'est tout jouasse que je rentre au Château décharger et stocker les fagots bien au chaud.
Peu de temps après j'ai un doute qui se transformera en certitude après lecture des étiquettes, je m'suis gaufré dans les panneaux, et merde...
C'est en jurant et pestant tel un camelot du Roi des noms d'oiseaux aussi variés qu'un menu de chez Fauchon que la morale m'interdit ici de nommer, que je m'en vais recharger les saloperies de fagots laineux.
J'te zappe la deuxième mi-temps de ma désolante expédition pour ramener l'erreur grotesque à bon porc.
Retour chez mon fidèle Jacouille pour lui ramener sa bétaillère; une roteuse Bretonne pour la route et laisser le boug et sa famille se préparer à se casser en vacances pour une petite semaine.
Demain, progression de la pose de l'isolant et début de pose du plaquage BA13.
Le fourgon à ras la gueule des ballots laineux.